parfois, les mots nous trahissent en décrivant nos sentiments et peut-être en exprimant ce que nous avons à l’intérieur parce que ce que nous traversons dépasse toutes les limites et les énergies...
et ce qui est pire, c’est que nous ne pouvons trouver d’autre solution que de garder le secret ou de l’exprimer de manières et de méthodes que nous pouvons penser être les meilleures solutions
possibles même si nous refusons de le faire ...
et dès que nous commençons à le faire malheureusement rien ne revient à ce que c’était...
comment ça?
eh bien, parce que simplement ces moments représentent le déficit lui-même et ceux qui n’ont pas d’expériences antérieures ou de respiration forte choisissent le moyen le plus simple, c’est-à-dire l’ignorer en étant occupés par autre chose, même si c’est l’une des lignes rouges que nous mettons en place à un moment donné (ou l’instinct sur lequel nous sommes nés) ...
d’où le début, l’erreur est suivie d’une erreur, et puisque l’être humain est fragile, on se rend compte alors que l’erreur est normale car s’habituer à tout (l’habitude est fatale)...
de ce qui précède, la question peut également venir à l’esprit:
peut-on surmonter cela sans aller plus loin dans ce qui précède?
bien sûr, peut-être le premier, dieu ne coûte pas à l’âme sauf qu’il peut
et puis parce que l’âme humaine est sensible, elle n’acceptera pas ce dicton et continuera à le justifier comme une douleur non éphémère et n’a rien à voir avec les paroles résonnantes (sans approfondir les paroles de dieu tout-puissant et les solutions qu’il nous a mentionnées dans le saint coran) ...
bien sûr, je dis cela parce que simplement ma pensée n’est pas différente de celle de n’importe qui d’autre.
et à un moment donné de ma vie, je souffrais de perte de moi-même et je ne ressentais pas la stabilité nécessaire, et aussi je n’ai pas trouvé les solutions nécessaires ni d’un ami ni d’un étranger ...
mais je l’ai trouvé dans la parole d’ali ibn abi talib, que dieu le bénisse : « nous vivrons après notre angoisse au printemps comme si nous n’avions pas goûté hier amèrement »...
toute ma pensée a changé en lisant ces mots parce qu’avec une nouvelle idée toutes les difficultés précédentes me viennent à l’esprit et comment je les ai passés et même les ai oubliés comme s’ils n’étaient jamais importants...
je m’excuse pour la prolongation, mais le fait est que l’âme humaine est faible si son obéissance vous obéit et si son obéissance vous détruit...
il n’y a donc rien de mal à une certaine tristesse ou perte dans nos vies, nous sommes des êtres humains à la fin nous l’avons aimé ou non, mais ne laissez pas cela affecter votre avenir ou vos décisions et surtout ne pas faire ce qui était hier une ligne rouge juste pour le surmonter...